Une soirée avec deux femmes dominatrices

Je n’ai pas l’impression que tu en sois totalement conscient, mais les femmes ont des journées pénibles, harassantes. Nous marchons et nos pieds nous brûlent ainsi enfermés dans des chaussures à talons hauts et nous en souffrons !

Ta principale tâche ce soir à notre service sera de t’occuper de nos pieds. Ce soir j’ai très mal, Julie mon amie également, tu vas nous nettoyer à toutes les deux les pieds avec ta langue, tu vas également en prendre soin, les masser et je veux que ton travail soit parfait, mais parfait…

Elles attendaient ma réponse, tremblant ou presque je lâchais : « Oui maîtresses »

Les deux femmes prennent place sur le canapé en me lâchant, tu sais ce soir nos pieds sentent très fort, nous avons fait du shopping toute la journée. Elles me demandèrent d’ôter leurs chaussures, je le fis sans broncher, plutôt excité.
Leurs pieds étaient quasi parfaits, entretenus et menus.

Elles pointèrent leurs pieds vers moi en me demandant de sentir, l’une posa même sa voute plantaire sur mon visage en m’ordonnant d’inhaler très fort.
J’obéis instantanément, respirant à plein nez les deux paires de pieds que m’offraient mes maitresses d’un soir. Chacune d’entre elles plaqua un de ses pieds sur mon visage, je ne voyais plus rien, le visage à moitié écrasé, c’est vrai en passant que l’odeur était forte, très forte.

Les deux femmes prenaient un malin plaisir à me voir ainsi suffoquer, me laissant de petits espaces entre les orteils pour reprendre mon souffle. Elles voulaient que j’avoue adorer cette odeur, elles voulaient que j’avoue en être quasi accroc, tout en me précisant que plus tard c’est une autre partie de leur anatomie que je devrais sentir.

Après quelques minutes de ce traitement de faveur, elles ôtèrent leurs pieds de mon visage en me demandant cette fois de les lécher. Sans hésitation, je débutai par la plante, la sensation était agréable, chaude et douce, j’appréciais d’ailleurs l’exercice, il se passait des choses dans mon pantalon.

Malheureusement je faisais cela très mal, embrassant plus que léchant, mes maîtresses me le firent savoir en me promettant un dressage rapide et efficace. Vanessa me laissa une nouvelle chance, cette fois l’erreur ne serait pas pardonner, je me mis alors à lécher et bouffer comme un glouton les orteils des deux femmes, aspirant leur transpiration au goût très salé. Encore une fois la technique ne fût pas au goût de mes maîtresses qui cette fois décidèrent de me punir, 20 coups de fouets pour l’une, 20 pour l’autre, quarante à l’arrivée !

L’une d’elle se leva et me saisit par le poignet et m’entraina dans un coin de la pièce ou trônaient deux chaines et des bracelets en fer. Je me retrouvais attaché, face au mur, je ne pouvais qu’entendre. L’une des femmes ouvrit un tiroir et soudain le son du fouet se fit entendre…

« Esclave ! Tu vas comprendre ce que veut dire bâcler son travail maintenant et rien ne pourra changer ma décision ». Je sentis la lanière de cuir glisser sur mon dos et cet ordre de cambrer mes fesses. Un premier coup vint me rougir les fesses, totalement crispé et apeuré, je me mis à crier !!!

Les coups pleuvaient maintenant, je ne sentais presque plus la douleur, les deux femmes s’échangeant l’objet de torture. Tout cela durait depuis une bonne heure, 20, 30 coups de fouets, je ne savais plus, je ne ressentais plus rien.

Enfin elles s’approchèrent de moi, l’une d’entre elles passa la lanière du fouet autour de mon sexe tout en me soufflant à l’oreille que nous pouvions maintenant repartir sur de nouvelles bases…