Mon expérience avec une domina parisienne

J’étais déjà très excité, je me trouvais dans la salle velours de Maîtresse, j’étais nu comme elle me l’avait demandé la veille au téléphone, à genoux et tête bien basse quasiment sur le sol. La porte s’ouvrit enfin, je voulais me retourner, je me concentrais pour ne pas bouger, un petit vent de froid ou d’excitation je ne sais plus me donna la chair de poule, c’était bon. Elle me frôla, je ne voyais que ses pieds, ses jambes gainées de nylon et ses chaussures à lanières très sexy.

Elle me lança : « Aujourd’hui tu as désobéis, je vais donc te punir sévèrement, je ne te ferai pas de cadeau tu as très mal fait »

Elle m’ordonna alors de garder la tête baissée et d’aller m’attacher au poteau central de la pièce et tout en me demandant de me placer le cul bien en arrière et d’écarter en grand les cuisses, que mon anus soit bien visible, bien ouvert.

Sans attendre je m’exécute à ses ordres très excité en fait. Je l’entendis attraper une de ses cravaches, je sentais qu’elle caressait le manche de bois, qu’elle le branlait presque…

Elle me redressa vigoureusement la tête avec ce dernier et me lança que j’avais très mal fais et que je devrais patienter avant de jouir et surtout pas avant qu’elle me l’autorise, ce serait alors une erreur terrible. Elle me caressait le dos avec la cravache et soudain me mis un petit coup sur les couilles qui me fît un mal de chien. Elle me demanda de me pencher à nouveau et ce fût un déluge de coups sur mes fesses, sur mon anus, elle ne faisait pas les choses à moitié, 10, 20, 30 je ne sais plus.

Elle se calma et caressa délicatement mes couilles cette fois avec le cuir, bien sûr sans attendre mon sexe devint dur comme du béton. Je sentis sa langue si douce sur mes bourses, elle remonta jusqu’au trou de balle, sa salive excitant les plaies toutes fraiches, je souffrais, mais j’adorais cela paradoxalement.

Elle m’introduit un gode ensuite, bien profond jusqu’à que je sente le cuir de sa ceinture, elle stoppa de me limer et me demanda de l’attendre à genoux devant le lit, toujours la tête très basse. Elle m’autorisa à relever la tête pour que je lui lèche la vulve, ce que je fis, ma technique semblait satisfaire maîtresse qui commençait à mouiller sérieusement et même à émettre quelques petits sons.

Elle me lança que j’avais réussie et que je pouvais la prendre maintenant et lui défoncer la chatte. Son vagin happa mon sexe, elle en voulait beaucoup plus, elle ne pensait qu’à se faire sodomiser, je ne me fis pas prier quand elle m’offrit son petit… Elle gémissait, hurlait, se tortillait dans tous les sens alors que je redoublais d’efforts, elle voulait que je la tronche, que je la baise comme une chienne sans faillir surtout.

Heureuse, elle me demanda d’éjaculer sur son visage, elle attendait l’explosion, ce fût un geyser dont elle se délectât des secondes durant…